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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 07:24

Cosmos

Composition d'une vision d'un lieu sans objet

 

  vide

Initialement, le vide n'est pas occupé par des objets tangibles 

 

  immensité

Le vide est immense 

 

illimité

Cet endroit est sans limites apparentes

 

intégralité

Ce lieu est intégralement complet 

 

intégrité

 Le vide est intact, n'ayant subi aucune altération, aucune atteinte intérieure ultérieure 

 

tension

Le lieu est en tension permanente

 

tenségrité

Le vide est une structure stabilisée par des forces de tension et de compression qui s'y répartissent et l'équilibrent

 

mouvement

Le vide est un système mécanique dans un état d'équilibre stable comportant un ensemble de composants comprimés au sein d'un continuum de composants tendus

 

vibration

La tenségrité est marquée par une vibration, mouvement d'oscillation entre la tension et la compression

 

strate

Le mouvement d'oscillation est répartie sur plusieurs niveaux de fréquences ondulatoires de radioéléments fluides 

 

flux

Le mouvement des oscillations est fluide, il oscille entre un mouvement fort et un mouvement faible créant un treillis de tracés tenus ; les mouvements se croisent comme un grillage aux lignes imaginaires. Les lignes imaginaires impactent sur leurs voisines directes et indirectes

 

nodosité

Le flux des ondulations radiodiffusions est corruptible 

 

oedème

Un noeud peut se former à tout instant, à n'importe quel endroit du vide : de sorte qu'un flux de « fils » tenus fait « maille » 

 

calorification

Le noeud provoque une excroissance exponentielle qui emmagasine l'énergie du flux migratoire oscillant

 

distorsion

Lorsque la maille fait masse, l'oscillation radio émettrice fait corps et les ondes se collent les unes aux autres

 

rupture

Jusqu'à un certain point de résistance due à la place entre les ondes radio émettrices, les ondes finissent par s'amalgamer et l'énergie atteint son point de rupture  

 

expulsion

La masse énergétique est expulsée de son centre originel, vers les extérieurs de ce centre d'origine

 

dispersion

Le vide permet la dispersion des éléments contraints qui se sont relâchés d'un coup brusque

 

épanchement

Les flux énergétiques relâchés s'échappent de leur contexte initial vers des zones qui leur sont étrangères

 

accroissement

Du centre originel vers les zones lointaines, la masse énergétique gonfle et s'accroît

 

concentration

La masse énergétique s'accumule dans les zones extérieures du centre d'origine de la rupture créant une concentration de masses énergétiques par la résistance concentratoire des flux oscillatoires radio émettrices

 

corpuscule

La tension et la compression de la tenségrité marque le début d'une ère nouvelle dans les mouvements d'énergies, leur écrasement qui débouche sur une concentration en corpuscule

 

circonvolution

Les échanges énergétiques entre zones éloignées et zones de proximité du centre originel de la rupture contraint à une limitation des mouvements en boucle

 

agglomération

Les mouvements en boucle des masses énergétiques s'agglutinent en une quantité de petits paquets : le quanta énergétique 

 

convulsion

Les zones deviennent mobiles et l'extension les contraint à un schéma d'évolution perpétuel, en boucle et en enchainé comme des violentes contractions conduites par un espace restraint minimum : le quanta d'énergie dans un espace et un schème temporel

 

liquéfaction

La congruité physiologique des mouvements de lignes imaginaires des flux se modifie au profil d'une fluidité facilité par le mouvement en extension vers des zones périphériques au centre d'origine de la rupture énergétique. La perte d'énergie commence par l'opposition entre immobilité extérieure et mobilité des objets quantiques

  

gazéification

La distance entre le centre originel est les efforts produits par la dispersion des masse d'énergie est telle que le temps de trajectoire apparait comme un facteur de longueur. La masse des énergies en perte de chaleur accuse un retrait de son gradient thermique. La fluidité devient naturellement une structure plus volatile : le gaz

  

refroidissement

Un long temps après, le lieu immense et sans limites apparentes absorbe l'énergie dispersée qui finit par ralentir à cause de la trop grande étendue du lieu

 

dégradation

Les masses énergétiques agglutinées en conglomérats de particules serrées les unes aux autres se distancent et se désagrègent lentement, mais de façon irréversibles

 

dégraduation

Les masses éparsent d'énergie changent de strates vibratoires par leurs lenteurs et leurs chaleurs qui décroissent

 

réintégration

L'énergie fondamentale réintègre son niveau d'évolution oscillatoire, c'est-à-dire le niveau le plus bas d'émissions radio émettrices

 

résonance

L'onde non particulaire revient à une résonance initiale

 

vide

Le vide n'est plus occupé par des objets tangibles énergétiques. L'énergie est de nouveau parcourue de frissonnements faits de tension et de compression qui s'y équilibrent

 

Était-ce ce vide que les grecs de l'antiquité nommaient la Grande Architecture : OPIPHEX

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Published by Francis Corsa - dans Vide Stellaire