Composition d'une vision d'un lieu sans objet
vide
Initialement, le vide n'est pas occupé par des objets tangibles
immensité
Le vide est immense
illimité
Cet endroit est sans limites apparentes
intégralité
Ce lieu est intégralement complet
intégrité
Le vide est intact, n'ayant subi aucune altération, aucune atteinte intérieure ultérieure
tension
Le lieu est en tension permanente
tenségrité
Le vide est une structure stabilisée par des forces de tension et de compression qui s'y répartissent et l'équilibrent
mouvement
Le vide est un système mécanique dans un état d'équilibre stable comportant un ensemble de composants comprimés au sein d'un continuum de composants tendus
vibration
La tenségrité est marquée par une vibration, mouvement d'oscillation entre la tension et la compression
strate
Le mouvement d'oscillation est répartie sur plusieurs niveaux de fréquences ondulatoires de radioéléments fluides
flux
Le mouvement des oscillations est fluide, il oscille entre un mouvement fort et un mouvement faible créant un treillis de tracés tenus ; les mouvements se croisent comme un grillage aux lignes imaginaires. Les lignes imaginaires impactent sur leurs voisines directes et indirectes
nodosité
Le flux des ondulations radiodiffusions est corruptible
oedème
Un noeud peut se former à tout instant, à n'importe quel endroit du vide : de sorte qu'un flux de « fils » tenus fait « maille »
calorification
Le noeud provoque une excroissance exponentielle qui emmagasine l'énergie du flux migratoire oscillant
distorsion
Lorsque la maille fait masse, l'oscillation radio émettrice fait corps et les ondes se collent les unes aux autres
rupture
Jusqu'à un certain point de résistance due à la place entre les ondes radio émettrices, les ondes finissent par s'amalgamer et l'énergie atteint son point de rupture
expulsion
La masse énergétique est expulsée de son centre originel, vers les extérieurs de ce centre d'origine
dispersion
Le vide permet la dispersion des éléments contraints qui se sont relâchés d'un coup brusque
épanchement
Les flux énergétiques relâchés s'échappent de leur contexte initial vers des zones qui leur sont étrangères
accroissement
Du centre originel vers les zones lointaines, la masse énergétique gonfle et s'accroît
concentration
La masse énergétique s'accumule dans les zones extérieures du centre d'origine de la rupture créant une concentration de masses énergétiques par la résistance concentratoire des flux oscillatoires radio émettrices
corpuscule
La tension et la compression de la tenségrité marque le début d'une ère nouvelle dans les mouvements d'énergies, leur écrasement qui débouche sur une concentration en corpuscule
circonvolution
Les échanges énergétiques entre zones éloignées et zones de proximité du centre originel de la rupture contraint à une limitation des mouvements en boucle
agglomération
Les mouvements en boucle des masses énergétiques s'agglutinent en une quantité de petits paquets : le quanta énergétique
convulsion
Les zones deviennent mobiles et l'extension les contraint à un schéma d'évolution perpétuel, en boucle et en enchainé comme des violentes contractions conduites par un espace restraint minimum : le quanta d'énergie dans un espace et un schème temporel
liquéfaction
La congruité physiologique des mouvements de lignes imaginaires des flux se modifie au profil d'une fluidité facilité par le mouvement en extension vers des zones périphériques au centre d'origine de la rupture énergétique. La perte d'énergie commence par l'opposition entre immobilité extérieure et mobilité des objets quantiques
gazéification
La distance entre le centre originel est les efforts produits par la dispersion des masse d'énergie est telle que le temps de trajectoire apparait comme un facteur de longueur. La masse des énergies en perte de chaleur accuse un retrait de son gradient thermique. La fluidité devient naturellement une structure plus volatile : le gaz
refroidissement
Un long temps après, le lieu immense et sans limites apparentes absorbe l'énergie dispersée qui finit par ralentir à cause de la trop grande étendue du lieu
dégradation
Les masses énergétiques agglutinées en conglomérats de particules serrées les unes aux autres se distancent et se désagrègent lentement, mais de façon irréversibles
dégraduation
Les masses éparsent d'énergie changent de strates vibratoires par leurs lenteurs et leurs chaleurs qui décroissent
réintégration
L'énergie fondamentale réintègre son niveau d'évolution oscillatoire, c'est-à-dire le niveau le plus bas d'émissions radio émettrices
résonance
L'onde non particulaire revient à une résonance initiale
vide
Le vide n'est plus occupé par des objets tangibles énergétiques. L'énergie est de nouveau parcourue de frissonnements faits de tension et de compression qui s'y équilibrent
Était-ce ce vide que les grecs de l'antiquité nommaient la Grande Architecture : OPIPHEX